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IDH : La ministre  Dr Sandra Ablamba Johnson, salue le leadership éclairé du président, Faure Gnassingbé

Le gouvernement togolais par le truchement du ministère de la planification du développement et de la coopération, a présenté ce jeudi 04 juillet 2024,  aux acteurs des médias les facteurs ayant milité en faveur de la position du Togo dans l’espace UEMOA, en matière d’Indice de développement humain (IDH).
Au cours d’un atelier, les professionnels des médias ont été entretenus sur les réalisations du Togo sous tendant l’évolution de son IDH, afin de leur donner les outils/ informations nécessaires devant leur faciliter le travail de vulgarisation. La rencontre présidée par la ministre secrétaire générale de la Présidence de la République, Dr Ablamba Ahoefavi Johnson, et sa collègue en charge de la Communication, Yawa Kouigan, a permis aux participants de cerner les critères d’évaluations des pays sur l’IDH. Dans son intervention, Dr Sandra Johnson  a encouragé les medias à maintenir la flamme de la bonne information et lutter contre la désinformation, ce en prenant une part active dans le suivi des réalisations en cours en soutien aux efforts des communautés
Fière de cette performance, la ministre  Dr Sandra Ablamba Johnson qui a présidé la rencontre,  n’a pas tari d’éloges envers le président de la république, Faure Gnassingbé. Comme quoi «A tout Seigneur, tout honneur».
La Secrétaire générale de la présidence a saisi l’occasion de cette réunion  pour saluer le leadership éclairé du locataire de la Marina. Lequel leadership, selon elle, a permis au Togo de réaliser cette performance.
Par ailleurs, la ministre  Ablamba Johnson, a encouragé chaque citoyen à jouer sa partition pour un Togo plus prospère, avant d’inviter les professionnels des médias à aller au-delà de simples rumeurs et à  s’approcher des  personnes ressources afin d’avoir de bonnes informations qui leur  permettront de jouer efficacement  leur rôle.
Pour rappel, le rapport sur l’IDH classe le Togo  1er dans l’espace UEMOA et 4ème dans la CEDEAO après le Cap-Vert, le Ghana et le Nigéria.
Gilles  OBLASSE

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