Cette conférence parlementaire est organisée conjointement par le Bureau des Nations Unies pour la lutte contre le terrorisme (UNOCT) et l’Assemblée nationale du Togo en collaboration avec l’Union parlementaire africaine, le Comité interparlementaire du G5 Sahel, et le Conseil de la Choura de l’État du Qatar. Plus de 250 participants dont une dizaine de présidents d’assemblées parlementaires, des représentants des parlements nationaux des États d’Afrique, des organisations non gouvernementales de jeunes et des organisations de la société civile, des représentants des agences du Systèmes des Nations-Unies et des organisations internationales ont repondu à l’appel des organisateurs .
Dans son discours d’ouverture, Mme Tsegan a présenté les assises de Lomé comme une « convergence d’actions multi-acteurs », indiquant que les parties prenantes rechercheraient les voies et moyens pour endiguer la menace du terrorisme et de l’extrémisme violent.
« A travers ce cadre d’échanges, nous tenterons de mettre en place une synergie de réponse collective de lutter contre le terrorisme avec toute la vigueur et la rigueur qu’elle emprunte de notre détermination à bâtir une communauté de destin harmonieux », a indiqué la présidente de l’Assemblée nationale togolaise.
Plusieurs interventions ont marqué la cérémonie inaugurale de ces assises axées sur la poursuite de la recherche et des moyens par lesquels les parlementaires pourraient effectivement renforcer leur engagement avec les jeunes dans la prévention de l’extrémisme violent.
En rappel ,l’événement réunissant plus de 250 participants venus de plus de 20 pays dont des parlementaires, des organisations de jeunes et des organisations de la société civile, durera deux jours et est placé sous le thème « Comprendre la menace terroriste en Afrique », et ce, après la conférence de Doha au Qatar en 2022
Gilles OBLASSE