ActualitéPolitiqueUncategorized
69e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies: la ministre Zinsou-Klassou présentera « l’expérience du Togo en matière de promotion et de protection de la femme, ainsi que les efforts de l’Etat pour consolider son autonomisation socioéconomique

La ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la femme, Pr. Kossiwa Zinsou-Klassou
, prend part, du 10 au 15 mars, au siège de l’ONU à New York, aux travaux de la 69e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies.
La 69e session de cet événement annuel, organisé par l’ONU pour dénoncer la violence et les discriminations dont font l’objet les femmes dans le monde, coïncide avec le trentième anniversaire de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing, qui avaient fixé des objectifs ambitieux en matière d’égalité entre les genres.
A cette occasion, la ministre Zinsou-Klassou présentera « l’expérience du Togo en matière de promotion et de protection de la femme, ainsi que les efforts de l’Etat pour consolider son autonomisation socioéconomique et renforcer sa place et sa participation dans tous les domaines, notamment à la faveur des décisions prises sous la direction éclairée du président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé .La ministre participera également à plusieurs activités organisées en marge de cette session.

Le chef de l’ONU, António Guterres, à la 69e session
Les progrès visibles aujourd’hui sont le résultat du travail accompli par le gouvernement togolais sous la houlette du chef de l’état Faure Essozimna Grassingbé, au fil du temps, dans le but de répondre aux besoins de l’ensemble de la population, de faire progresser l’égalité ded sexes et de veiller à ce que la lutte pour un changement durable se poursuive en s’appuyant sur le potentiel de la femme .
La participation de la délégation Togolais réaffirme l’engagement du Togo à poursuivre les efforts et contribuer à la réalisation des objectifs du programme d’action de Beijing .
M. Guterres a rappelé à louverture des travaux : « les femmes sont toujours privées de droits fondamentaux dans de nombreux pays, comme le droit de ne pas être violée par son mari, de posséder des biens, d’obtenir la citoyenneté sur un pied d’égalité avec les hommes ou encore d’accéder au crédit sans devoir obtenir la permission de son mari. »
Gilles OBLASSE